Dark Atlas: Infernum – L’enfer vous attend de pied ferme !
Si vous pensiez que 2024 était une année suffisamment chaotique, accrochez-vous à vos chapelets car Dark Atlas: Infernum débarque pour ajouter une bonne dose d’épouvante à ce cocktail explosif ! Dark Council Studio a apparemment décidé que nous n’avions pas assez souffert et nous offre un aller simple pour l’enfer, avec escale dans les méandres de la folie. Préparez-vous à vivre une expérience horrifique qui vous fera regretter d’avoir installé cette satanée veilleuse dans votre chambre.
Imaginez un monde où le ciel se déchaîne comme un adolescent en pleine crise hormonale. Des orages apocalyptiques ravagent la planète, transformant la nuit en un spectacle son et lumière digne d’un festival pyrotechnique organisé par Zeus en personne. (On se demande si les compagnies d’assurance proposent une option « fin du monde » dans leurs contrats.) Mais le plus terrifiant, ce n’est pas la foudre qui s’abat sur Terre, non. Ce sont les « Empreintes », ces silhouettes fantomatiques qui émergent des ténèbres après chaque décharge électrique, comme des pop-ups indésirables sur votre ordinateur. Ces âmes perdues errent sans but, le regard vide et l’expression aussi engageante qu’un contrôleur fiscal un jour de déclaration d’impôts. (On se demande s’ils ont au moins une bonne connexion Wi-Fi dans l’au-delà.)
Et vous, pauvre mortel, vous vous retrouvez au beau milieu de ce chaos, avec pour seul crime d’avoir osé dire la vérité. (Décidément, l’honnêteté est un vilain défaut dans ce monde post-apocalyptique.) Votre punition ? Être harcelé sans répit par « la Parole », une entité aussi subtile qu’un marteau-piqueur un dimanche matin. Imaginez une voix caverneuse qui vous obsède jour et nuit, vous susurrant des insanités à l’oreille, racontant vos pires secrets à vos voisins et critiquant vos choix vestimentaires. (On parie qu’elle a aussi un compte Instagram où elle poste des photos de vous en pyjama avec des filtres ridicules.)
Dans Dark Atlas: Infernum, la survie est un art qui s’apprend à la dure. Vous devrez explorer les vestiges d’une civilisation en ruine, où chaque porte grinçante, chaque couloir sombre et chaque recoin poussiéreux pourrait cacher une menace mortelle. (Pensez à emporter une lampe torche, un couteau suisse et une bonne dose de paranoïa.) Mais l’horreur ne se limite pas au monde extérieur : vous devrez également affronter les démons qui se tapissent dans les profondeurs de votre subconscient. (Préparez-vous à des séances d’introspection forcée qui feraient passer un stage de développement personnel pour une partie de plaisir.) Et comme si ça ne suffisait pas, votre quête vous mènera jusqu’aux portes de l’enfer, où vous attendront des créatures infernales et des supplices dignes des pires cauchemars de Dante. (On espère qu’ils ont au moins un bon service de restauration là-bas.)
Dark Atlas: Infernum est bien plus qu’un simple jeu vidéo, c’est une descente aux enfers interactive qui vous mettra les nerfs à rude épreuve. Les phases de furtivité vous obligeront à ramper dans l’ombre et à retenir votre souffle, tandis que les énigmes complexes vous feront regretter de ne pas avoir suivi des cours de logique quantique. (N’oubliez pas de sauvegarder votre progression toutes les cinq minutes, on ne sait jamais.) L’ambiance sonore, quant à elle, est un chef-d’œuvre d’angoisse, avec des musiques oppressantes et des effets sonores qui vous feront sursauter au moindre bruit suspect. (On vous conseille de jouer avec un casque audio pour une immersion totale… et une consommation excessive de café.)
L’histoire de Dark Atlas: Infernum s’inscrit dans l’univers sombre et fascinant de la « Saga Radiata », créée par l’écrivain Álvaro Aparicio, un maître de l’horreur qui a visiblement passé trop de temps dans des cimetières la nuit. (Si vous aimez les histoires qui vous font frissonner, vous avez probablement déjà lu ses œuvres… et fait des cauchemars pendant des semaines.) Et pour les hispanophones parmi vous, sachez que le doublage est assuré par la voix envoûtante d’Alberto « Láudano » Martínez, le narrateur du célèbre podcast Noviembre Nocturno. (Sa voix est tellement captivante qu’elle pourrait vous faire écouter un discours politique sans vous endormir.)
Et la cerise sur le gâteau démoniaque ? Une démo jouable de Dark Atlas: Infernum est disponible dès maintenant sur Steam ! (C’est l’occasion idéale de tester votre courage et de voir si votre carte graphique est prête à affronter les flammes de l’enfer.)
Dark Atlas: Infernum sortira sur PC, PlayStation et Xbox en 2025. En attendant, vous pouvez patienter en ajoutant le jeu à votre liste de souhaits, en préparant une réserve de tranquillisants et en vous entraînant à crier comme une banshee.
En conclusion : si vous aimez l’horreur, les énigmes, et l’idée de passer vos nuits à fuir des créatures cauchemardesques, Dark Atlas: Infernum est le jeu qu’il vous faut !
Turok: Origins – Le chasseur de dinosaures renaît de ses cendres ! – La Pause Geek
Share this content:
En savoir plus sur La Pause Geek
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Laisser un commentaire