INAYAH – Life After Gods : Quand l’apocalypse rencontre la mignonnerie (et des gants en métal)

Accrochez-vous à vos joysticks, gamers, car on va parler d’un jeu qui risque de vous faire vibrer la rétine et exploser les pouces. « INAYAH – Life After Gods », c’est le bébé d’ExoGenesis Studios, un studio indépendant qui a visiblement décidé de mettre les petits plats dans les grands pour son premier titre. Imaginez un peu le tableau : des vétérans de l’industrie du jeu vidéo, ayant sué sang et eau sur des mastodontes comme Warhammer 40k: Rogue Trader (où l’on zigouille du démon à la chaîne avec une joie non dissimulée) et Pathfinder: Wrath of the Righteous (où l’on bastonne des hordes de créatures maléfiques avec un arsenal digne d’un croisé enragé), qui décident de s’associer… à des artistes Disney ? Oui, vous avez bien lu ! Apparemment, après avoir passé des années à concevoir des univers sombres et violents, ils avaient envie d’un peu de douceur et de poésie dans ce monde de brutes. Le résultat ? Un jeu d’action-plateforme en 2D qui promet d’être un véritable cocktail Molotov d’émotions, entre action frénétique à la sauce « Metroidvania », exploration méticuleuse d’un monde post-apocalyptique fascinant et moments d’émerveillement pur devant des décors dignes des plus grands films d’animation.

Inayah, l’orpheline qui met des claques (avec style)

Oubliez les princesses en détresse qui attendent leur prince charmant en jouant de la mandoline. Ici, on incarne Inayah, une jeune orpheline qui a plus d’un tour dans son sac (et surtout dans ses gants). Abandonnée à son sort dans un monde post-apocalyptique où les dieux ont apparemment décidé de prendre des vacances prolongées (sans prévenir, les goujats !), Inayah n’est pas du genre à se morfondre sur son sort. Dotée d’un caractère bien trempé et d’une détermination à toute épreuve, elle se lance dans une quête épique pour retrouver son peuple, dispersé aux quatre coins d’une planète ravagée. Heureusement, elle n’est pas seule face au danger : le fantôme de son mentor, un vieux sage un peu grincheux mais au grand cœur, la guide dans son périple, lui prodiguant conseils avisés et sarcasmes bien placés. Imaginez un Gandalf version ectoplasme, avec une barbe blanche flottant au vent, des yeux pétillants d’intelligence et une fâcheuse tendance à radoter sur « le bon vieux temps« .

Des gants magiques et des mandales qui font mal

Mais Inayah n’est pas qu’une simple aventurière avec un fantôme bavard comme compagnon. Non, elle possède une arme secrète : des « Gauntlets », des gants high-tech qui feraient pâlir d’envie Iron Man et lui donneraient des envies de reconversion professionnelle. Ces merveilles de technologie, héritées d’une civilisation ancienne et mystérieuse, lui permettent non seulement de grimper aux murs tel un gecko survitaminé, sauter par-dessus des gouffres béants comme une athlète olympique et se balancer de liane en liane avec la grâce d’un singe agile, mais aussi de transformer ses poings en armes redoutables. Épées acérées, fléaux dévastateurs, marteaux contondants… Inayah a tout un arsenal à portée de main, et elle n’hésite pas à s’en servir pour mettre une raclée aux créatures hostiles qui croisent son chemin, qu’il s’agisse de mutants difformes, de robots rouillés ou de créatures surnaturelles sorties tout droit des cauchemars les plus fous.

Un jeu qui a tout pour plaire (ou presque)

« INAYAH – Life After Gods » ne se contente pas de proposer une héroïne badass et des combats explosifs. Il a bien d’autres atouts dans sa manche, de quoi faire rougir d’envie les jeux les plus ambitieux :

• Un univers visuel à couper le souffle : Les artistes Disney ont mis tout leur talent au service du jeu, créant des environnements 2D magnifiques, peints à la main avec amour et précision. Des forêts luxuriantes aux ruines d’une civilisation oubliée, en passant par des cavernes obscures et des temples majestueux, chaque décor est une véritable œuvre d’art, qui vous transportera dans un monde post-apocalyptique à la fois sombre et enchanteur. On est loin des graphismes pixelisés qui piquent les yeux et donnent des maux de tête !
• Des combats de boss épiques (et un peu flippants) : Préparez-vous à affronter 20 boss uniques, plus terrifiants les uns que les autres, chacun avec son propre design, ses animations impressionnantes et ses attaques dévastatrices. Des créatures gigantesques aux gardiens mécaniques en passant par des entités surnaturelles, ces boss vous donneront du fil à retordre. Chacun d’eux possède ses propres mécaniques et ses phases de combat, vous obligeant à adapter votre stratégie, à faire preuve de réflexes et à utiliser toutes les compétences d’Inayah pour en venir à bout.
• Une histoire captivante avec des choix cornéliens : Le destin d’Inayah et du monde qui l’entoure est entre vos mains. Au fil de votre aventure, vous serez confronté à des choix difficiles, qui auront un impact sur le déroulement de l’histoire et sur la fin du jeu. Alors réfléchissez bien avant d’agir, car chaque décision peut avoir des conséquences inattendues ! Plusieurs fins sont possibles, vous encourageant à rejouer au jeu pour explorer toutes les ramifications de l’histoire.
• Une bande-son qui déchire : Composée par Alex Kestner et Alexander Budagyan, deux compositeurs talentueux, la musique du jeu est un mélange parfait d’épique et d’émotion, qui vous accompagnera dans votre aventure et vous donnera des frissons. Des mélodies envoûtantes aux rythmes entraînants, la bande-son d’INAYAH est un véritable chef-d’œuvre, qui sublimera chaque moment du jeu, des phases d’exploration aux combats les plus intenses.
• Des doublages de qualité (avec des voix célèbres) : Jessica Carroll, une star du doublage de jeux vidéo, que vous avez peut-être entendue dans des titres comme Baldur’s Gate 3 ou Cyberpunk 2077, prête sa voix à Inayah. Et elle n’est pas la seule ! Le casting vocal est composé de nombreux talents, qui donnent vie aux personnages avec brio, leur insufflant émotions et personnalité.

ExoGenesis Studios : les nouveaux prodiges du jeu vidéo ?

ExoGenesis Studios, c’est un peu la Ligue des Justiciers du jeu vidéo : une équipe internationale de vétérans, composée de développeurs, d’artistes et de designers talentueux, passionnés et déterminés à créer des jeux exceptionnels. Venus des quatre coins du monde, ils ont uni leurs forces et leurs expériences pour donner naissance à un studio indépendant qui a déjà tout d’un grand. Avec « INAYAH – Life After Gods », ils se lancent un défi de taille : conquérir le cœur des joueurs avec un jeu original, beau et captivant, qui marquera les esprits et laissera une trace indélébile dans l’histoire du jeu vidéo. On a hâte de voir s’ils vont réussir leur pari !

En attendant la sortie du jeu, prévue pour le premier trimestre 2025 sur PC et le deuxième trimestre 2025 sur consoles, on vous laisse baver devant les captures d’écran et le trailer. Et n’oubliez pas : Inayah arrive, et elle n’est pas là pour faire de la figuration !

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