Préparez-vous, aventuriers du pixel et chevaliers du clavier, car un nouveau défi s’apprête à déferler sur vos écrans ! Le 19 septembre 2025, un souffle épique et un brin de folie s’abattront sur PlayStation 5, Xbox Series X|S, PC et Nintendo Switch avec la sortie de TOWA AND THE GUARDIANS OF THE SACRED TREE. Oubliez vos soucis, enfilez votre armure la plus scintillante (ou votre pyjama le plus confortable et votre casque de viking, on ne juge pas) et plongez avec nous dans les méandres de ce Roguelite qui promet de faire des étincelles, et pas seulement celles de vos épées !
UN MONDE VIBRANT, AUX MILLE ET UNE MERVEILLES ET DANGERS (ET PEUT-ÊTRE QUELQUES CHAUSSETTES ORPHELINES)
Imaginez un instant : des forces ancestrales se réveillent, un chaos primordial menace d’engloutir tout sur son passage, et au milieu de ce tumulte, vous, oui, vous, incarnez Towa, la prêtresse de Shinju, et sa bande hétéroclite d’enfants célestes. Votre mission, si vous l’acceptez (et vous n’avez pas vraiment le choix, le sort du monde est en jeu !) : sauver le paisible village de Shinju des griffes maléfiques de Magatsu, une entité dont la seule mention fait frissonner les plus braves.
Un pitch classique, me direz-vous ? Détrompez-vous ! Ce monde n’est pas une simple toile de fond ; c’est une tapisserie chatoyante où chaque fil représente une merveille ou un danger. Chaque recoin pourrait cacher un trésor insoupçonné… ou une créature prête à vous faire regretter amèrement cette dernière pirouette stylée. Ce n’est pas un monde de bisounours, c’est un champ de bataille déguisé en carte postale !
Et parlons-en de ce monde ! Il est sublimé par les mélodies ensorcelantes de Hitoshi Sakimoto, le maestro derrière des bandes-son qui vous donnent envie de brandir une épée même en faisant la vaisselle ou en attendant votre tour à la boulangerie. Les paysages sauvages sont à couper le souffle, si bien que vous pourriez presque sentir l’herbe fraîche sous vos pieds et la rosée du matin sur votre visage… avant qu’un sbire hideux de Magatsu ne vous rappelle brutalement que vous êtes là pour vous battre, pas pour faire du tourisme ou pour prendre des selfies pour votre compte « Insta-dungeon ». Le courage est votre seule voie, et croyez-moi, vous en aurez besoin à la louche !
UN ROGUELITE HALETANT EN DUO (PARCE QUE L’UNION FAIT LA FORCE, ET LES COMBOS DÉVASTATEURS)
« Roguelite » : un mot qui fait frissonner les puristes, saliver les amateurs de défis et parfois grincer des dents les moins persévérants. Dans TOWA AND THE GUARDIANS OF THE SACRED TREE, l’action est au rendez-vous, et rassurez-vous, vous ne serez jamais seul face à l’adversité. Towa, notre héroïne, ne se lance pas tête baissée ; elle est rejointe par huit compagnons fidèles, les fameux enfants célestes. Chaque duo est une véritable symphonie de coups et de pouvoirs, maniant le sabre sacré (Tsurugi) avec une précision mortelle et le bâton mystique (Kagura) avec une grâce divine.
Ce qui rend ce système si savoureux, c’est la diversité. Chaque enfant céleste a ses propres capacités uniques, ses propres sabres (parce qu’un héros sans sa lame, c’est comme une pizza sans fromage : ça manque de quelque chose), et donc, des styles de combat et des duos totalement uniques. Vous aimez les attaques rapides et les combos fulgurants qui transforment vos ennemis en confettis ? Ou préférez-vous la puissance brute et les dégâts de zone qui nettoient l’écran comme un coup de serpillière magique ? Il y en aura pour tous les goûts, et vous passerez probablement des heures à expérimenter pour trouver la combinaison parfaite qui fera de vous le cauchemar récurrent de Magatsu. Préparez-vous à tracer votre chemin dans ces terres colorées, à mener des expéditions épiques, et à terrasser les serviteurs de l’ombre avec un style qui ferait pâlir d’envie les plus grands samouraïs du cinéma.
FORGEZ DES SABRES ET LIENS À L’ÉPREUVE DU TEMPS (ET DES DÉFAITES CUISANTES)
Un Roguelite sans progression, c’est comme un gâteau sans sucre : fade, décevant et on se demande pourquoi on a perdu son temps. Heureusement, TOWA AND THE GUARDIANS OF THE SACRED TREE ne manque absolument pas de saveur ! À mesure que vous progressez (ou que vous échouez lamentablement en jurant que c’est la faute de la manette, c’est le principe du Roguelite, n’est-ce pas ?), le village de Shinju évolue avec vous. Chaque visite est une occasion de vous entraîner au dojo pour vous forger une musculature d’acier (virtuellement, bien sûr, ne cassez pas votre chaise de bureau), d’obtenir de puissants dons qui feront de vous une machine à tuer, et surtout, de créer de nouveaux sabres flambant neufs à la forge, des lames si belles qu’elles en pleureraient presque de joie (ou de rage, selon leur tempérament).
Mais ce n’est pas tout ! Le jeu met un accent particulier sur les liens que vous tissez avec les habitants du village. Découvrez leurs coutumes ancestrales, leurs histoires personnelles (qui peuvent parfois être plus palpitantes que vos propres aventures), et peut-être même quelques potins juteux sur le chef du village ou sur la vendeuse de pommes. Ces interactions ne sont pas que de la poudre aux yeux pour faire joli ; elles enrichissent l’univers, vous offrent des bonus inattendus et vous donnent une raison supplémentaire, profondément humaine, de vous battre corps et âme pour Shinju. Après tout, qui ne voudrait pas sauver un village rempli d’amis, de confidents et de futurs partenaires de blagues douteuses ?
RENCONTREZ REKKA ET NISHIKI : LES NOUVEAUX VISAGES DE L’ÉPÉE ET DU KOI (OUI, UN KOI)
Lors du Bandai Namco Summer Showcase, le producteur Daisuke Nagaoka a levé le voile sur deux des huit personnages jouables, et laissez-moi vous dire qu’ils sont aussi fascinants qu’hilarants, une combinaison gagnante !
D’abord, il y a Rekka, la fougueuse guerrière samouraï et fondatrice du redoutable Dojo de la Flamme Éternelle. Elle a fait vœu solennel d’être la garde du corps personnelle de Towa, ce qui est une excellente nouvelle pour notre prêtresse. Mais ne vous fiez pas à sa maîtrise exceptionnelle des épées et à son aura intimidante, car dans la vie de tous les jours, Rekka est… comment dire… d’une maladresse presque poétique. Imaginez une guerrière badass capable de vaincre un dragon d’une seule main, mais qui trébuche sur ses propres pieds en allant chercher le pain ou qui renverse son thé sur la carte du monde. Son style de combat est équilibré, avec des attaques de zones dévastatrices et des combos puissants, prouvant qu’on peut être une menace redoutable sur le champ de bataille et un danger public involontaire dans la cuisine.
Ensuite, préparez-vous à la surprise du chef, le dessert inattendu : Nishiki, la carpe koï pieuse et athlétique. Oui, vous avez bien lu, une carpe koï humanoïde, musclée comme un culturiste, mais avec des écailles. Et le meilleur dans tout ça, l’apothéose de l’ironie ? Il ne peut pas nager ! L’univers a décidément un sens de l’humour tordu. Malgré sa musculature impressionnante, Nishiki est un pèlerin très pieux qui considère vaincre Magatsu comme une forme ultime de philanthropie. Il se joint à la bataille avec une grande mobilité et une habileté pour les combos qui feront pâlir d’envie les ninjas les plus agiles, prouvant qu’on n’a pas besoin de branchies pour être un héros, juste d’une foi inébranlable et de quelques mouvements de karaté aquatique (sans l’eau).
LE VERDICT (PROVISOIRE, MAIS ENTHOUSIASTE JUSQU’AU BOUT DES ONGLES)
TOWA AND THE GUARDIANS OF THE SACRED TREE s’annonce comme une aventure riche en émotions, en défis qui vous feront serrer les dents et en personnages mémorables qui vous donneront le sourire. Ce mélange explosif de Roguelite haletant, d’un monde vibrant et visuellement époustouflant, de liens humains à forger avec soin et de duos de combat uniques promet des heures de jeu intenses et addictives. Que vous soyez un vétéran aguerri des Roguelites, capable de traverser les enfers les yeux bandés, ou un novice curieux qui cherche sa prochaine grande aventure, ce titre semble avoir tous les ingrédients pour vous captiver et vous tenir en haleine jusqu’au bout.
Alors, marquez vos calendriers avec un gros feutre indélébile, préparez vos manettes (et peut-être un coussin pour les moments de frustration intense), et affûtez vos sabres (ou vos nageoires, si vous êtes plus du genre Nishiki). Le 19 septembre 2025, le destin du village de Shinju sera entre vos mains. Et n’oubliez pas : dans ce monde, le calme dissimule toujours une menace latente, le courage est la seule façon d’avancer… et un bon sens de l’humour, ça aide aussi à survivre aux pires boss !
Prêt à relever le défi et à écrire votre propre légende ?
TURBO KID : Le chaos pixelisé arrive sur Nintendo Switch ! – La Pause Geek
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