Amis amateurs de frissons vidéoludiques, accrochez-vous à vos manettes car Serafini Productions s’apprête à nous servir une trilogie horrifique qui risque de nous hanter les nuits (et pas seulement à cause des pixels apparents) : BrokenLore débarque, et le premier chapitre, « LOW », est prévu pour le 21 février 2025. Oui, vous avez bien entendu, dans quelques jours à peine, nos écrans vont trembler (de peur, ou d’excitation, à vous de voir).
Développé par des créateurs visiblement adeptes des ambiances glauques et des histoires qui font froid dans le dos, « BrokenLore: LOW » nous mettra dans la peau de Naomi Montgomery, une jeune femme qui, soyons honnêtes, n’a pas choisi la destination vacances la plus reposante. Direction Kirisame Mura, un village perdu au fin fond du Japon, pour rencontrer un producteur de musique. Parce que oui, même dans l’horreur, il faut bien payer les factures. Mais surprise (ou pas), Naomi va vite déchanter en se retrouvant confrontée à des entités sinistres bien décidées à lui gâcher son séjour (et peut-être plus si affinités). Son aventure, promet-on, sera un voyage à travers le temps et la mémoire, posant les bases de l’univers « BrokenLore« . On nous souffle même à l’oreille qu’une légende sombre plane sur le village, impliquant un temple antique disparu et une malédiction qui pèse sur Kirisame Mura. Ambiance, ambiance…
Kirisame Mura : Bienvenue dans le labyrinthe du désespoir (et des pixels)
Et parlons-en, de Kirisame Mura ! Le village est décrit comme un véritable labyrinthe sans issue, symbole, paraît-il, du cycle infernal des mauvaises décisions et des destins brisés auxquels notre héroïne sera confrontée. La structure même du jeu devrait refléter ce concept oppressant. Au menu des thèmes joyeux abordés : l’envie, l’ambition et l’échec. Parfait pour une soirée cocooning, non ? Sérieusement, « BrokenLore: LOW » semble vouloir creuser profondément dans la psyché humaine, et on ne demande qu’à être terrifiés avec intelligence.
Détails croustillants (comme des os de squelettes)
Mais « BrokenLore: LOW », ce n’est pas juste une histoire qui fait peur, c’est aussi un jeu qui a du style (à sa manière, bien sûr). On nous annonce un segment graphique rétro, et attention, ce n’est pas juste pour faire joli « à l’ancienne ». Non, ce choix esthétique aurait un rôle crucial dans la série « BrokenLore ». Mystère, mystère… Autre curiosité qui pique notre intérêt : les statues que l’on aperçoit dans le jeu ont été créées par le sculpteur italien Bruno Lucchi. De l’art macabre dans un jeu d’horreur ? On valide ! Enfin, et c’est peut-être le détail le plus intrigant : le jeu a été développé en étroite collaboration avec un psychologue. L’objectif ? Garantir une représentation authentique des thèmes explorés et plonger au plus près de l’impact psychologique des traumatismes vécus par Naomi. De quoi se poser des questions existentielles tout en jouant, que demander de plus ?
La trilogie de la terreur : « DON’T WATCH » et « UNFOLLOW » en embuscade
Et ce n’est pas tout ! Serafini Productions ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Dans la foulée de « BrokenLore: LOW », deux autres titres viendront compléter cette série horrifique : « DON’T WATCH », prévu pour le 20 mars, et « UNFOLLOW ». De quoi nous assurer quelques mois de frissons intenses (et de nuits blanches, probablement).
Alors, si vous êtes prêts à affronter vos peurs les plus profondes dans un village labyrinthique peuplé d’entités sinistres, et le tout avec une esthétique rétro qui ne manque pas de charme (si on aime les pixels, bien sûr), « BrokenLore: LOW » est fait pour vous.
N’hésitez pas à ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam et à garder un œil sur les prochaines sorties de Serafini Productions. Parce qu’avec « BrokenLore », l’horreur n’a peut-être jamais été aussi … pixelisée (et psychologiquement pertinente ?).
Liens pour les plus courageux :
Last Drop : Trip acide et drôle en Finlande, direction 1994 ! – La Pause Geek
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