Accrochez-vous à vos chapeaux (même si vous n’en portez pas), car le bitume numérique de STEAM vient d’accueillir une nouvelle étoile noire : Bullet Noir, le twin-stick shooter stylisé et brutal qui va vous faire transpirer des balles (métaphoriquement, on l’espère). Développé avec amour et une bonne dose de noirceur par les talentueux (et visiblement un peu sadiques) de Wolcen Studio, ce jeu auto-édité vous propose un voyage en aller simple pour une ville où la violence fait office de bonjour et la rédemption passe par un nombre suspect de cadavres. Et tout ça pour la modique somme de 11,79 € en accès anticipé. Une affaire, on vous dit !
Si vous pensiez que votre journée était morose, imaginez un peu la vie de nos quatre protagonistes. Dans cette métropole poisseuse où le soleil semble avoir pris des vacances prolongées, ces âmes égarées ont un point commun : un mentor qui a visiblement croisé la mauvaise personne (ou beaucoup de mauvaises personnes). La vengeance ? Leur seul rayon de lumière dans ce brouillard de criminalité. Et vous, pauvres joueurs que vous êtes, allez avoir le plaisir (ou le malheur, selon votre tolérance aux effusions de pixels) de les guider dans leur quête sanglante.
Pour vous donner un avant-goût de ce qui vous attend, Wolcen Studio a même eu la gentillesse de nous concocter une bande-annonce de lancement en accès anticipé. Allez-y, jetez-y un œil. On vous attend pour débriefer les litres d’hémoglobine numérique qui vont s’afficher à l’écran.
L’INDIE INITIATIVE : QUAND WOLCEN STUDIO JOUE LES MÉCÈNES (DE LA VIOLENCE LUDIQUE)
Bullet Noir n’est pas juste un jeu de plus qui vient grossir la déjà bien fournie bibliothèque Steam. C’est le tout premier rejeton de la nouvelle Indie Initiative de Wolcen Studio. En gros, ils ont des idées qui leur trottent dans la tête, et au lieu de les laisser prendre la poussière, ils les transforment en jeux vidéo bien corsés. C’est beau, non ? Un peu comme un artiste qui sculpte dans le marbre… sauf qu’ici, le marbre est fait de lignes de code et les sculptures explosent dans des gerbes de sang stylisées.
Ce twin-stick shooter nerveux et visuellement léché vous invite donc à plonger dans le passé trouble de ces quatre vengeurs masqués. Chacun a sa propre histoire, son propre cocktail de traumatismes et, bien sûr, sa propre méthode pour distribuer la justice (souvent à base de balles qui sifflent). Au fur et à mesure que vous avancerez dans le jeu, leurs chemins se croiseront, dévoilant une intrigue plus vaste et probablement encore plus sombre que les ruelles que vous explorerez. On parie sur une bonne vieille conspiration tentaculaire avec des méchants qui méritent vraiment de se faire plomber les ailes.

« UN TIR, UN MORT » : LA NOUVELLE DEVISE DE VOTRE VIE (VIRTUELLE)
Oubliez les armures qui absorbent les balles comme des éponges et les ennemis qui mettent un chargeur entier à tomber. Bullet Noir mise sur un système de combat aussi simple qu’efficace : « un tir, un mort ». Ça promet des affrontements tendus à chaque coin de rue. Chaque décision compte, chaque esquive est vitale. Allez-vous foncer dans le tas comme un bourrin en espérant que votre réserve de munitions soit infinie (spoiler : elle ne l’est probablement pas) ? Ou allez-vous la jouer fine, en vous faufilant dans l’ombre pour éliminer vos cibles une par une, tel un ninja sous stéroïdes et armé jusqu’aux dents ? Le choix vous appartient.
Que ce soit dans les ruelles malfamées où l’odeur de l’égout se dispute à celle du crime, dans les taudis qui semblent s’écrouler sous le poids du désespoir, ou même au sommet de gratte-ciels où l’air est peut-être plus pur mais les enjeux tout aussi mortels, chaque environnement sera un terrain de jeu mortel. À vous d’adapter votre approche pour découvrir la vérité derrière la disparition tragique (et probablement violente) de votre mentor.
LES DÉVELOPPEURS VOUS VEULENT (ET VOTRE FEEDBACK AUSSI !)
Tavi Petre, le Game Director de Bullet Noir, semble particulièrement enthousiaste à l’idée de nous laisser patauger dans ce bain de sang stylisé. « Nous sommes ravis d’inviter les joueurs à découvrir Bullet Noir et toute l’action explicite qu’il propose », déclare-t-il avec un sourire que l’on imagine légèrement sadique. Mais derrière cette invitation à la violence se cache une démarche louable : l’accès anticipé est là pour recueillir les précieux retours de la communauté. Alors, si vous avez des idées brillantes (ou des critiques constructives, soyons sérieux deux secondes), n’hésitez pas à rejoindre leur serveur Discord pour laisser votre empreinte sur le développement du jeu. Qui sait, votre suggestion pourrait bien se retrouver intégrée dans la prochaine mise à jour (peut-être une nouvelle arme encore plus destructrice ?).
Bogdan Oprescu, le Président de Wolcen Studio, renchérit sur cet esprit d’équipe : « C’est la créativité et la passion incroyables de notre équipe de joueurs invétérés qui ont permis de donner vie à Bullet Noir. L’esprit indie est profondément ancré chez Wolcen, et notre Indie Initiative est là pour faire en sorte qu’il le reste. » Voilà qui est dit. Chez Wolcen Studio, ils aiment les jeux indépendants, ils aiment la créativité débridée, et visiblement, ils aiment aussi nous faire exploser des pixels avec style.

Alors, qu’attendez-vous ? Si vous avez une âme de justicier (un peu sombre sur les bords), si vous aimez les jeux qui ne prennent pas de gants (sauf peut-être pour essuyer le sang sur l’écran), et si vous avez 11,79 € qui traînent, Bullet Noir pourrait bien être votre prochaine obsession vidéoludique. Préparez vos réflexes, affûtez votre sens tactique, et surtout, n’oubliez pas de recharger. Dans cette ville, on ne sait jamais ce qui vous attend au prochain coin de rue.
Et croyez-nous, ce ne sera probablement pas une tasse de thé.
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