Accrochez-vous à vos chapeaux, car l’aventure australienne ultime vient d’ouvrir ses portes ! Après une phase d’accès anticipé qui a conquis plus d’un million de joueurs et récolté des évaluations « Très Positives », Dinkum, fruit du travail du développeur australien solo James Bendon et propulsé par KRAFTON, Inc., est officiellement disponible dans le monde entier sur Steam.
Préparez-vous à explorer un Outback sauvage et attachant, où construire sa propre ville rime avec rencontres insolites et, soyons honnêtes, quelques tentatives désespérées de cohabitation pacifique avec la faune locale.

L’OUTBACK VOUS OUVRE SES PORTES : DÉCOUVREZ DINKUM DANS SA VERSION FINALE
Pour celles et ceux qui auraient passé les derniers mois à méditer sous un eucalyptus (ou qui étaient absorbés par la gestion méticuleuse d’une ferme virtuelle concurrente), Dinkum vous transporte sur une île robuste inspirée par l’immensité de l’Outback australien. Votre mission, si vous l’acceptez : ériger une bourgade prospère à partir de zéro. Cela implique de collecter des ressources variées (méfiez-vous des créatures rampantes de taille respectable !), de vous adonner à la chasse (pour les amateurs de sensations fortes et de provisions virtuelles), de taquiner le poisson (en espérant que les spécimens locaux n’aient pas un penchant pour l’explosion) et d’explorer les entrailles de la terre (qui sait quels trésors dorment sous cette terre ocre ?).
Cependant, Dinkum ne se limite pas à un simple simulateur de survie en milieu hostile. Le jeu met un point d’honneur à offrir une personnalisation approfondie de votre personnage et de votre environnement. Vous aurez la liberté de modeler votre île selon vos envies, d’interagir avec des Personnages Non-Joueurs au caractère bien trempé (on anticipe déjà les dialogues savoureux avec un vieux fermier bourru) et même de convier jusqu’à six de vos amis pour une expérience multijoueur potentiellement chaotique, mais indéniablement divertissante. Imaginez : une équipe dédiée à l’édification de structures complexes pendant qu’une autre tente tant bien que mal d’échapper à la course effrénée d’un émeu visiblement contrarié. Un tableau idyllique, n’est-ce pas ?
LA VERSION 1.0 : UN VENT DE NOUVEAUTÉS SOUFFLE SUR L’OUTBACK
Ce lancement officiel ne se contente pas de marquer la sortie de l’accès anticipé. Il apporte avec lui une pléthore de contenu inédit et d’améliorations substantielles, conçues pour raviver l’intérêt des pionniers de la première heure et séduire les nouveaux arrivants :
- Mode Créatif : Laissez votre imagination galoper plus vite qu’un cheval sauvage. Envie de construire une hutte entièrement faite de boomerangs ? De remodeler le paysage insulaire selon vos visions les plus excentriques ? Ce mode est votre terrain de jeu. Vous pourrez générer des objets à volonté, manipuler les caprices du climat (enfin, la pluie quand vous le souhaitez !) et le cours du temps, le tout sans aucune limite. Un paradis pour les architectes en herbe et les apprentis sorciers météorologiques.
- Système de Maisons d’Hôtes : Devenez le magnat de l’immobilier de l’Outback (avec un peu plus de convivialité, espérons-le). Vous aurez désormais la possibilité de louer des habitations à de nouveaux PNJ, générant ainsi des revenus passifs pour financer vos prochaines expéditions à la recherche de ce fameux opossum insaisissable. Une stratégie astucieuse pour développer votre ville sans user prématurément vos outils.
- Améliorations Multijoueur : Parce que l’union fait la force (surtout face à une meute de dingos affamés). Le jeu introduit des options de permissions personnalisées pour les joueurs invités. Vous pourrez enfin définir qui a le droit de récolter vos précieuses pastèques ou de réaménager votre intérieur avec un goût douteux. La coopération et la communication seront vos alliées les plus précieuses (ou pas).
- Nouvelles Options de Crafting : Parce qu’on a toujours besoin d’un moyen de transport un peu plus rapide qu’une paire de sandales. Parmi les ajouts notables, on découvre la possibilité de construire un aéronef biplace pour des déplacements plus rapides (adieu les traversées laborieuses à pied !) et un terrarium à insectes pour les entomologistes en herbe (assurez-vous simplement que les spécimens locaux ne soient pas venimeux à l’échelle 1:1).
Et pour couronner le tout, une version d’essai gratuite est désormais disponible ! Les nouveaux aventuriers pourront ainsi explorer les premiers pas dans l’univers de Dinkum sans engagement financier. Et excellente nouvelle pour les explorateurs assidus : votre progression sera automatiquement transférée vers la version complète si l’expérience vous séduit (ce qui, avouons-le, est une perspective des plus alléchantes).
Grâce à l’ajout récent du support de 14 langues, Dinkum s’ouvre désormais à une audience globale, désireuse de découvrir le charme singulier de cette simulation de vie teintée d’une authentique ambiance australienne. Que vous soyez un vétéran des jeux de simulation ou un simple curieux en quête d’une escapade virtuelle relaxante et dépaysante, Dinkum a de sérieux atouts à faire valoir.

UN NOUVEAU HORIZON POUR LE « COZY SURVIVAL » (AVEC UNE DOSE D’ADRÉNALINE, JUSTE CE QU’IL FAUT)
Le lancement officiel de Dinkum représente une étape majeure dans son parcours. Le jeu continue d’enrichir son potentiel de bac à sable tout en restant fidèle à son esprit initial. Avec des mises à jour post-lancement déjà envisagées, Dinkum rejoint le portfolio croissant de partenariats d’édition mondiaux de KRAFTON, venant ainsi soutenir des créations indépendantes audacieuses et potentiellement novatrices dans leur genre.
Alors, qu’attendez-vous ? Préparez votre équipement virtuel, affûtez vos outils et lancez-vous à la conquête de Dinkum. Qui sait, vous pourriez bien y découvrir votre nouveau coin de paradis numérique… ou au moins quelques anecdotes amusantes à raconter sur vos rencontres avec la faune locale.
ENLISTED : les wunderwaffe prennent leur envol ! – La Pause Geek
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