Préparez-vous à revoir vos souvenirs d’enfance sous un angle… disons, légèrement déformé. Le studio indépendant Montraluz, en collaboration avec l’éditeur Tlön Industries, vient de lâcher une bombe de psyché-horreur : Playrooms, la toute nouvelle extension de leur jeu culte Dreamcore. Et comme une surprise n’arrive jamais seule, cette mise à jour est déjà disponible sur toutes les plateformes, et ce, gratuitement pour quiconque possède déjà le jeu ! Oui, vous avez bien lu. Pas de paiement additionnel pour ceux qui ont déjà osé s’aventurer dans les méandres de Dreamcore.
Ce « shadow drop » inattendu a fait sensation lors du Latin American Games Showcase. Alors que Playrooms était initialement prévu pour le 17 juin, Montraluz a décidé de prendre tout le monde de court, offrant ainsi aux joueurs une dizaine de jours d’avance pour plonger dans cette nouvelle dimension de l’étrange. Un geste audacieux, presque taquin, qui ne manquera pas de ravir les fans de sensations fortes et les amateurs de titres qui repoussent les limites de l’horreur psychologique.





UN PRIX QUI JOUE À CACHE-CACHE, MAIS POUR VOTRE BIEN !
Attention, âmes sensibles au portefeuille ! Puisque Dreamcore s’enrichit de 50% de contenu supplémentaire, son prix de base va logiquement augmenter, passant à 11,99 /9,99£/11,79€. Mais respirez, vous avez jusqu′au 17 juin pour l′acquérir au prix actuel de 8,99 / 7,49 £ / 8,79 $ sur toutes les plateformes. C’est le moment ou jamais de sauter le pas, car en plus d’économiser quelques précieux deniers, vous recevrez Playrooms et toutes les futures extensions sans aucun coût additionnel ! C’est ce qu’on appelle un investissement judicieux dans l’angoisse et les nuits blanches.
Car oui, deux chapitres supplémentaires sont déjà prévus pour l’année à venir, et ils resteront des mises à jour gratuites pour les propriétaires du jeu. Une affaire en or pour les amateurs de frissons à long terme.

« PLAYROOMS » : QUAND L’INNOCENCE TOURNE AU CAUCHEMAR ÉVEILLÉ
Alors, qu’est-ce que Playrooms a de si spécial pour nous donner des frissons ? Cette expansion massive vous propulse dans une salle de jeux pour le moins… déconcertante. Imaginez un mélange flou et tordu de pouponnières, de parcs pour enfants, de gymnases et de jardins d’enfants. Les aires de jeux joyeuses, les dessins colorés et les structures d’escalade de votre tendre enfance sont réarrangés de manière à créer quelque chose de tranquillement étrange et d’absolument dérangeant. Adieu les souvenirs chaleureux des bacs à sable ; bonjour l’inquiétude sourde d’un toboggan qui mène vers nulle part, ou d’un cheval à bascule dont le regard semble vous suivre. L’ambiance est volontairement tordue, jouant sur la dissonance entre l’innocence enfantine et une atmosphère profondément oppressante.
Valentín Iribarren, le créateur de Dreamcore chez Montraluz, explique la démarche derrière Playrooms avec une lucidité presque glaçante : « Dreamcore a toujours eu pour but d’explorer des espaces intrinsèquement dérangeants, même s’il n’y a pas de monstres littéraux qui essaient de vous tuer ou d’écrans ‘game over’. Playrooms nous a permis de vraiment étirer notre imagination avec ce concept, en réfléchissant à l’étrangeté inhérente à l’enfance, lorsque l’ombre d’un porte-manteau dans votre chambre pouvait ressembler au pire de ce que votre imagination pouvait concocter. » Franchement, après quelques minutes dans Playrooms, on n’a jamais autant eu envie de dormir avec une veilleuse et de vérifier trois fois sous notre lit.



QU’EST-CE QUE « DREAMCORE » ? UN VOYAGE SENSORIEL VERS L’INCONFORT
Pour ceux qui n’auraient pas encore osé s’aventurer dans les profondeurs de Dreamcore, sachez que le jeu vous lâche dans une multitude de mondes extraordinaires et expansifs, construits autour de labyrinthes d’espaces liminaux. Librement inspiré par les célèbres mèmes des « backrooms », Dreamcore propose une expérience unique où vous devrez sonder ces royaumes non linéaires. Chaque monde cache un puzzle unique que les joueurs doivent résoudre pour trouver la sortie. Et croyez-nous, la sortie est une destination que vous souhaiterez atteindre plus que jamais, car chaque recoin est conçu pour instiller un sentiment persistant de malaise et de solitude.
Développé sous Unreal Engine 5, chaque monde de Dreamcore offre une mémoire floue et déformée des années 1980, imprégnée de l’esthétique granuleuse des cassettes VHS « found footage ». Imaginez des couloirs sans fin, des salles de classe désertes et des piscines vides, le tout baigné dans une lumière crépusculaire qui semble suspendue dans le temps. Vous naviguerez à travers des structures complexes et des paysages captivants, où chaque environnement invite à des aventures et des explorations sans précédent. Chaque carte présente un vaste éventail de possibilités, délivrant des expériences entièrement distinctes. Vous pensiez avoir vu le bout de l’horreur avec les jumpscares habituels ? Dreamcore vous prouvera le contraire en vous plongeant dans une angoisse plus subtile, mais bien plus tenace.

CE QUE LA PRESSE EN DIT (ET NOUS AUSSI, ON EST D’ACCORD)
- « J’apprécie à quel point Dreamcore va loin pour atteindre l’ambiance que les fans d’horreur liminale recherchent. » – Gamespot (On est d’accord, ils ne reculent devant rien pour nous mettre mal à l’aise, et c’est génial.)
- « Dreamcore A Été Ma Première Expérience Terrifiante De l’Année » – The Gamer (Sincèrement, c’était aussi la nôtre. On a encore des sueurs froides en pensant à ces couloirs interminables qui mènent… nulle part.)
- « Un voyage incroyable et unique. C’est un rêve que je n’oublierai pas de sitôt. » – Xboxera (Un « rêve » ? On dirait plutôt un cauchemar dont on n’arrive pas à se réveiller, et on adore ça !)
- « Si vous aimez la nature étrange des espaces liminaux, il y a énormément de choses à aimer ici. » – GameSpew (Si vous aimez vous sentir mal à l’aise sans raison apparente, si les architectures impossibles vous fascinent autant qu’elles vous terrifient, alors oui, c’est votre jeu.)
En bref, Playrooms n’est pas qu’une simple extension, c’est une plongée plus profonde dans l’inconscient collectif de l’étrange, une invitation à affronter les peurs les plus primales enfouies en chacun de nous. Alors, si vous n’avez pas encore succombé à l’appel de Dreamcore, c’est le moment ou jamais. Venez vous perdre dans l’horreur psychologique la plus raffinée et la plus dérangeante du moment. Mais n’oubliez pas, après le 17 juin, les prix augmentent.
BACK TO THE DAWN : La prison est ouverte, l’évasion commence ! – La Pause Geek
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