Amis aventuriers du pixel, préparez vos torches et vos antidotes anti-poison, car une nouvelle pépite vidéoludique s’apprête à débouler sur nos écrans ! Le célèbre éditeur britannique Kwalee, connu pour ses titres aussi variés qu’addictifs (on pense à vous, fans de Don’t Stop Girlypop!), vient d’annoncer une collaboration des plus intrigantes avec le studio indépendant Deep Denizens. Leur projet commun ? Un certain Hark the Ghoul, un dungeon crawler à la première personne qui lorgne du côté des Souls-like, mais avec une bonne dose d’exploration et, tenez-vous bien, un charme rétro-moderne qui ne manquera pas de titiller votre fibre nostalgique.
Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, les développeurs ont également lâché un tout nouveau trailer qui nous emmène faire un petit tour du côté de la Cerulean Sluice, une zone inédite qui semble tout droit sortie d’un rêve (ou d’un cauchemar bien psychédélique). Imaginez un monde baigné d’une lumière étrange, infusé de mycélium phosphorescent, et peuplé d’automates agressifs et de personnages pour le moins… excentriques. Le tout avec des motivations aussi obscures que le fond d’un cachot après une coupure de courant.
QU’EST-CE QUE HARK THE GHOUL ?
Alors, qu’est-ce qui se cache derrière ce titre énigmatique ? Hark the Ghoul se présente comme un « indie Souls-like » à la première personne, mettant l’accent sur une exploration non linéaire et un système de combat que l’on nous promet expressif. Oubliez les couloirs étroits et scriptés, ici, la liberté de mouvement est de mise. Vous pourrez traverser le monde à votre guise, résoudre des énigmes à la manière d’un immersive sim (on imagine déjà les combinaisons d’objets les plus farfelues), et bien sûr, vous frotter à des ennemis qui ne vous feront pas de cadeaux.
Le pitch nous plonge dans un univers mélancolique et visuellement saisissant. On explorera les rues sombres de Clergerac et les profondeurs qui se cachent en dessous, à la recherche d’équipements utiles qu’il faudra combiner intelligemment pour se frayer un chemin. Car oui, dans Hark the Ghoul, la débrouillardise sera votre meilleure alliée (juste après votre épée, on imagine). Hark the Ghoul arrive sur PC via Steam.
UN LEVEL DESIGN RETORS À SOUHAIT
Quand Hark the Ghoul parle de « myriade de zones interconnectées de manière organique », imaginez un peu plus qu’un simple enchevêtrement de couloirs. On ne parle pas ici de niveaux linéaires déguisés en labyrinthe. Non, non. Pensez plutôt à un véritable écosystème souterrain, où chaque zone a sa propre identité visuelle, ses propres dangers et, surtout, ses propres connexions avec les autres.
Cette interconnexion organique signifie que vous pourriez très bien découvrir un passage secret derrière une cascade de champignons bioluminescents (on imagine, hein), qui vous mènera à une zone que vous pensiez inaccessible depuis votre point de départ. Vous pourriez également débloquer un raccourci bienvenu après avoir surmonté un défi particulièrement retors, vous permettant de revenir plus rapidement à un point d’intérêt ou d’échapper à une horde d’automates en colère.
L’idée, c’est de vous encourager à explorer chaque recoin, à ne pas hésiter à rebrousser chemin, car qui sait quel secret ou quel objet précieux pourrait se cacher dans cette alcôve que vous aviez négligée la première fois ? C’est un peu comme ranger votre grenier : vous commencez avec une idée précise de ce que vous cherchez, et vous finissez par tomber sur des reliques oubliées qui vous racontent une histoire (sauf qu’ici, les reliques risquent de vous attaquer à coups de clé à molette).
Et ce sentiment de se perdre, avouons-le, fait partie intégrante du charme des Souls-like. Combien de fois s’est-on retrouvé à errer pendant des heures dans les couloirs sombres d’un château ou d’une catacombe, pour finalement réaliser qu’on avait fait trois fois le même circuit ? C’est frustrant sur le moment, certes, mais la satisfaction de finalement trouver le bon chemin, de dénicher un objet caché ou de débloquer un nouveau passage est d’autant plus grande. Hark the Ghoul semble vouloir jouer sur cette dualité : le plaisir de l’exploration et le petit côté masochiste qui nous pousse à persévérer malgré les pièges et les impasses. Alors oui, on parie sur les nombreuses heures que l’on va passer à tourner en rond, mais dites-vous que chaque détour, chaque fausse route, vous rapprochera un peu plus de la vérité (et peut-être d’un nouveau game over bien senti). C’est ça aussi, l’aventure, non ? (Si vous répondez encore oui, on vous propose une thérapie de groupe pour joueurs de Souls-like atteints, on a les mêmes symptômes).
DES TONNES D’ÉQUIPEMENT UNIQUE À DÉCOUVRIR
Ah, l’arsenal ! Parlons-en un peu plus, car c’est un aspect crucial de tout bon dungeon crawler qui se respecte (et encore plus d’un Souls-like où la mort est une composante essentielle de l’apprentissage). Quand Hark the Ghoul nous promet un « embarras du choix », on ne parle pas juste d’une variation cosmétique entre deux épées légèrement différentes. Non, l’idée ici, c’est que chaque catégorie d’équipement aura son propre feeling et son propre rôle à jouer dans vos affrontements épiques (ou vos fuites désespérées).
Imaginez : vous tombez sur une épée, l’arme de base, certes, mais qui pourrait offrir un bon équilibre entre vitesse et dégâts. Peut-être qu’il y aura des épées plus lourdes, parfaites pour infliger des coups dévastateurs au prix d’une certaine lenteur, ou des épées plus rapides, idéales pour harceler vos ennemis avec une pluie d’attaques légères.
Et le fouet ! Voilà une arme qui ouvre tout un champ de possibilités. Peut-être qu’il permettra d’atteindre les ennemis à distance respectable, de les désarmer en leur arrachant leurs propres armes (oui, on rêve un peu), ou même de s’accrocher à certains éléments du décor pour se balancer au-dessus du danger (façon Indiana Jones, mais avec plus de ghoules).
Les armes à feu, quant à elles, promettent une approche plus directe et potentiellement plus explosive. Le pistolet pourrait être votre allié pour les cibles rapides et isolées, tandis que le canon… eh bien, le canon, on imagine que ça va faire du bruit et des dégâts considérables, parfait pour se débarrasser d’un groupe d’ennemis un peu trop collants (attention aux munitions, cependant, on n’est pas chez Rambo).
Mais ce qui pique vraiment notre curiosité, ce sont les artefacts et la magie. Les artefacts pourraient être des objets uniques aux effets spéciaux, comme un amulette qui vous rend invisible pendant quelques secondes, ou un anneau qui draine la vie de vos ennemis pour vous soigner. La magie, elle, pourrait offrir une variété de sorts allant de boules de feu dévastatrices à des sorts de soin en passant par des illusions pour tromper vos adversaires.
Et c’est là que la « belle profondeur dans les combats » prend tout son sens. Face à un automate rapide et agile, peut-être que le fouet sera plus efficace pour le maintenir à distance. Contre un groupe d’ennemis massifs, le canon pourrait être la solution radicale. Et pour les boss particulièrement coriaces, la combinaison astucieuse d’un artefact et d’un sort bien placé pourrait faire toute la différence entre la victoire et un retour prématuré à l’écran de chargement.
Alors oui, on a toujours cette image en tête du combo fouet-canon. Imaginez : vous agrippez un ennemi avec le fouet pour le maintenir en place, et vous lui envoyez une bonne décharge de canon en pleine figure. On ne sait pas si ça fera des étincelles au sens propre du terme, mais on parie que ça fera un sacré spectacle (et probablement beaucoup de dégâts). La liberté d’approche promise par Hark the Ghoul avec cet arsenal varié est vraiment excitante, et on a hâte de découvrir toutes les combinaisons farfelues et efficaces que les joueurs vont inventer !
DES GRAPHISMES RÉTRO-MODERNES QUI ONT DU CHIEN
Si vous êtes lassés des graphismes ultra-réalistes qui demandent une carte graphique à prix d’or, Hark the Ghoul pourrait bien être votre bouffée d’air frais. Le jeu arbore un style low-poly rétro-moderne du plus bel effet. Les développeurs précisent même que les effets visuels seront personnalisables, histoire de satisfaire tous les goûts.
On imagine déjà les options pour passer d’un look « bon vieux PC des années 90 » à un rendu un peu plus « moderne mais pas trop ». Un choix judicieux qui devrait ravir les nostalgiques tout en offrant une esthétique unique et charmante pour Hark the Ghoul.
ENVIE DE VOUS FAIRE UNE FRAYEUR (ET DE RIGOLER UN PEU) ? LA DÉMO EST LÀ !
Vous êtes impatients de mettre la main sur Hark the Ghoul ? Bonne nouvelle ! Une démo jouable est d’ores et déjà disponible sur Steam. C’est l’occasion parfaite pour vous faire une première idée de l’ambiance, du gameplay et du niveau de sadisme des développeurs.
N’hésitez pas à la télécharger ici. Et si le jeu vous plaît (on parie que oui), vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits ici. Ça ne coûte rien et ça fait toujours plaisir aux développeurs (et ça vous assure de ne pas rater la sortie de Hark the Ghoul sur PC via Steam).
KWALEE ET DEEP DENIZENS : UNE ALLIANCE DE CHOC
Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, Kwalee est un éditeur et développeur britannique multi-primé, basé à Leamington Spa. Fort d’un catalogue de jeux PC et consoles en constante expansion (avec des titres comme Wildmender, ROBOBEAT et Voidwrought à leur actif), Kwalee est toujours à la recherche de projets originaux et de qualité. Fondée par David Darling CBE, une figure emblématique de l’industrie du jeu vidéo et co-fondateur de Codemasters, l’entreprise s’entoure d’une équipe d’experts répartis dans plusieurs studios à travers le monde.
Quant à Deep Denizens, il s’agit d’un studio indépendant dont on risque d’entendre parler de plus en plus avec l’arrivée de Hark the Ghoul. Leur passion pour les jeux d’exploration et les expériences immersives transparaît clairement dans la description du jeu, et on a hâte de découvrir ce qu’ils nous réservent avec Hark the Ghoul.
PRÉPAREZ-VOUS À HURLER… DE PLAISIR !
Avec son mélange audacieux de Souls-like exigeant, d’exploration immersive et de graphismes rétro-modernes, Hark the Ghoul s’annonce comme un titre à surveiller de très près. L’annonce de la collaboration entre Kwalee et Deep Denizens est une excellente nouvelle, et la sortie d’une démo jouable sur Steam est une invitation à se faire son propre avis.
Alors, n’attendez plus, téléchargez la démo, explorez les profondeurs de la Cerulean Sluice et préparez-vous à hurler… de plaisir (et peut-être un peu de frustration face à la difficulté, on ne va pas se mentir). Rendez-vous sur Steam pour ajouter Hark the Ghoul à votre liste de souhaits et ne manquez pas sa sortie sur PC !
On vous tiendra informés des prochaines aventures de ce titre prometteur.
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