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JESTER: A FOOLISH RITUAL : le diable sort de sa boîte !

Le monde du jeu vidéo indépendant vient de subir une secousse, une de celles qui vous font sursauter et renverser votre tasse de thé (Earl Grey, de préférence, pour faire face à l’horreur avec une certaine dignité). Les développeurs belges de Fire Foot Studios, visiblement adeptes des surprises qui font froid dans le dos, ont actionné la manivelle d’une boîte diabolique pour nous présenter leur dernier rejeton : Jester: A Foolish Ritual. Et croyez-nous, ce n’est pas une blague de mauvais goût.

Le pitch est simple, mais terriblement efficace : imaginez-vous, paisiblement décédé (oui, vous avez bien lu). Vous vous reposez en paix, probablement en train de commenter les derniers potins de l’au-delà avec vos anciens voisins. Et là, BAM ! Résurrection surprise ! La bonne nouvelle, c’est que vous êtes de retour parmi les vivants (enfin, disons plutôt les revenants). La mauvaise ? C’est que votre paisible château ancestral a été transformé en un cirque cauchemardesque par un bouffon maléfique à l’humour… disons… particulier.

Jester: A Foolish Ritual est un jeu d’horreur coopératif qui vous plonge dans les sombres donjons d’un château médiéval où le papier peint a probablement vu des choses très, très moches. Prévu pour une sortie prochaine sur Steam (la date exacte reste encore un mystère aussi angoissant que la prochaine blague du Jester), le jeu promet une expérience où la discrétion sera votre meilleure alliée, la survie votre mantra et la complétion d’un rituel obscur votre unique ticket de sortie (en espérant ne pas croiser de clowns tueurs sur le chemin du retour à la non-vie).

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Vous incarnez l’un des quatre chevaliers ressuscités, probablement avec une légère odeur de naphtaline et une furieuse envie de retourner à votre sieste éternelle. Malheureusement pour vous (et pour le royaume, accessoirement), un Jester démoniaque a décidé de transformer votre paisible demeure en une attraction digne des pires cauchemars d’un enfant ayant abusé de pop-corn avant de dormir. Votre mission, si vous l’acceptez (et vous n’avez pas vraiment le choix, avouons-le), est de lever cette malédiction pourrie.

Chaque partie sera différente, un peu comme si le Jester s’amusait à refaire la décoration du château avec des pièges sournois et des boîtes surprises potentiellement explosives (dans tous les sens du terme). Méfiez-vous de ces fameuses « jack boxes » : les déclencher, c’est un peu comme sonner à la porte d’un voisin psychopathe à trois heures du matin. Le Jester, vexé de voir ses plans contrecarrés, ne manquera pas de vous faire une visite… disons… insistante.

Jester: A Foolish Ritual mise sur la coopération. Vous pouvez braver les horreurs seul, mais soyons honnêtes, c’est un peu comme aller chez le dentiste sans anesthésie : techniquement faisable, mais pas franchement recommandé. L’option de jouer jusqu’à quatre joueurs en ligne est donc fortement encouragée. Restez groupés pour une sécurité relative et utilisez le chat vocal de proximité pour coordonner vos actions (et hurler de concert quand le Jester vous saute dessus). Mais attention, si vous vous éloignez trop, vous risquez de vous perdre et de devenir le prochain amuse-bouche du bouffon.

Petit détail qui ajoute au charme (si on peut utiliser ce mot dans ce contexte) : plus vous ramassez d’objets pour accomplir le rituel, plus le Jester devient agressif. C’est un peu comme si vous lui piquiez ses jouets préférés. Il va pas être content, le copain.

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  • JUSQU’À 4 JOUEURS EN COOPÉRATION EN LIGNE : Parce que hurler à plusieurs, c’est toujours plus convivial.

  • CHAT VOCAL DE PROXIMITÉ : Idéal pour les « Regarde derrière toi ! » qui arrivent toujours trop tard.

  • REJOUABILITÉ : Chaque partie est unique, histoire de ne jamais vous ennuyer (et de vous faire surprendre encore et encore).

  • DIFFÉRENTS NIVEAUX DE DIFFICULTÉ : Pour les courageux qui aiment se faire vraiment peur, et ceux qui préfèrent une frayeur plus « soft » (si tant est que ce mot puisse exister dans un jeu avec un Jester démoniaque).

  • AUDIO IMMERSIF : Préparez-vous à entendre votre propre cœur battre la chamade quand le Jester vous aura repéré. Effet garanti !

  • COMPORTEMENT ADAPTATIF DE L’ENNEMI : Le Jester n’est pas idiot. Plus vous progressez, plus il devient retors et puissant. C’est un peu comme si votre pire cauchemar apprenait de ses erreurs.
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Alors, êtes-vous prêts à enfiler votre armure rouillée (si vous la retrouvez) et à affronter les machinations d’un bouffon visiblement très en colère ? Jester: A Foolish Ritual promet une expérience horrifique coopérative où le rire (nerveux) et les cris (de terreur) seront probablement au rendez-vous. Restez connectés pour la date de sortie sur Steam et préparez-vous à découvrir que parfois, il vaut mieux laisser les boîtes fermées.

Surtout celles qui contiennent des clowns avec des intentions visiblement peu amicales.

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