EREBAN: SHADOW LEGACY : l’ombre s’invite sur console 🎮
Le monde futuriste et moralement ambigu d'Ereban: Shadow Legacy se prépare à s'étendre au-delà du PC. SelectaPlay, en partenariat avec…
Les âmes possédées de Heart Machine et Devolver Digital sont fières d’annoncer la sortie de leur dernier bébé, Possessor(s), qui débarque le 11 novembre sur PC et PS5. Pour fêter l’événement, une toute nouvelle bande-annonce a été lâchée, plongeant plus profondément dans l’histoire, les personnages et le gameplay de ce nouveau joyau, typique du genre « Search Action » cher au studio Heart Machine.
Quand une étudiante et un démon font ménage à trois (enfin, à deux)
Possessor(s) nous propulse dans la peau de Luca, une étudiante malchanceuse (euphémisme) piégée dans les ruines de Sanzu, une mégalopole transformée en soupe de débris après une catastrophe interdimensionnelle. Pour couronner le tout, la ville est désormais peuplée d’apparitions horrifiques qui semblent avoir un compte à régler avec le vivant.
Pour ne pas finir en pâtée pour monstres, Luca passe un pacte avec un colocataire inattendu : Rhem, un démon fraîchement libéré et à la recherche d’un corps à squatter. Ne vous méprenez pas, Rhem n’est pas du genre à payer son loyer ou à faire la vaisselle, mais il est diablement efficace pour transformer ses hôtes en machines à tuer. Pour survivre, le duo n’a qu’une seule solution : mettre leurs énergies en commun. Le concept de « travail d’équipe » prend ici tout son sens, surtout quand l’alternative est de se faire désintégrer.
Un Metroidvania sauce « Search Action »
Si vous aimez les jeux qui vous donnent des crampes aux pouces, Possessor(s) est fait pour vous. Le jeu est un mélange savant d’action, de plateforme et de Metroidvania, où les combats et l’exploration virevoltante font la part belle aux enchaînements aériens. Vous pourrez aussi compter sur des armes improvisées comme des couteaux de cuisine, des guitares, voire même des souris d’ordinateur (oui, vous avez bien lu), pour vous défendre. On ne juge pas. La survie n’a pas de règles, sauf peut-être celle de ne pas mourir bêtement.
En développant leur « relation toxique » (on a le droit de le dire, non ?), Luca et Rhem débloqueront de nouvelles compétences qui leur permettront d’explorer un immense dédale interconnecté. Chaque quartier de Sanzu possède sa propre ambiance et son lot de défis. Au milieu de tout ce chaos, Luca a un objectif simple mais vital : retrouver sa mère et son meilleur ami. Au-delà des combats stylés et de l’exploration, Possessor(s) est un titre intimiste qui explore des thèmes sérieux comme la codépendance, le deuil et la survie. Bref, c’est un peu comme un jeu d’horreur psychologique, mais avec des combos aériens.
Quand la précision est une question de survie
Le monde de Possessor(s) est un chef-d’œuvre de design : des environnements 3D somptueux qui se mélangent avec des personnages dessinés et animés à la main. C’est beau, c’est mystérieux et c’est aussi un peu effrayant. Chaque recoin, chaque gratte-ciel en ruine et chaque aquarium abandonné semble avoir une histoire à raconter. La structure du monde est ouverte, vous offrant plusieurs chemins pour découvrir la vérité derrière la catastrophe et percer les secrets de ce cocktail d’horreur et de science-fiction.
Le gameplay, lui, est conçu pour les perfectionnistes. Les séquences de plateforme sont dynamiques et ciselées, et les combats sont vifs et précis. Maîtriser les combos aériens, les juggles et les mouvements au sol sera essentiel pour venir à bout de la variété d’ennemis et de boss. Heureusement, vous pourrez compter sur un arsenal d’armes et d’améliorations pour vous renforcer et atteindre des zones inaccessibles.
Alors, si vous êtes prêts à plonger dans un monde fracturé, à faire équipe avec un démon et à vous battre avec une guitare, Possessor(s) vous donne rendez-vous le 11 novembre sur PC et PlayStation 5.
Une aventure sombre, belle, et pleine de surprises vous attend.
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