Accrochez-vous à vos chevelures de métalleux, car les sorciers du pixel de chez Silver Lining Interactive et Steel Mantis reviennent hanter vos nuits. Après un premier opus qui nous a fait hurler de plaisir (et de rage), le duo diabolique nous a livré un premier aperçu de Slain 2: The Beast Within. Et laissez-moi vous dire que si vous pensiez que le sang, le métal, et les pixels étaient une mode, ce jeu est là pour vous prouver que c’est un mode de vie !
Présenté en exclusivité lors du MIX Fall Showcase le 29 août 2025, le trailer de ce « bain de sang gothique » a mis tout le monde d’accord : le rock’n’roll n’est pas mort, il a juste été remplacé par des riffs de heavy metal pour des combats à l’épée. Et le tout en 2026 sur PC via Steam, histoire de laisser le temps à votre porte-monnaie de pleurer.

LA VENGEANCE EST UN PLAT QUI SE MANGE AVEC DES RIFFS SATURÉS
Oubliez la délicatesse et les promenades en forêt. Dans Slain 2: The Beast Within, vous incarnez le Prince Akran, le dernier des Chevaliers-Loups, dont la lignée est maudite, pour notre plus grand plaisir. Mais attention, on ne parle pas d’une petite malédiction à la « je transforme en citrouille à minuit ». Non, là, on parle de la force et de la sauvagerie de la Bête elle-même. Et sous le regard moqueur de la pleine lune, vous pourrez vous transformer en loup-garou monstrueux, prêt à déchiqueter du démon avec une férocité qui ferait passer un grizzly pour un chaton.
Votre mission, si vous l’acceptez (et vu le trailer, vous l’accepterez), est de mettre fin à la corruption de Lord Vroll, un méchant tellement méchant que le seul remède est une bonne dose de feu, d’acier, et, vous l’aurez deviné, une tonne de riffs de metal.




TROIS QUÊTES POUR LES GOUVERNER TOUTES… OU POUR SE FAIRE TABASSER DANS TROIS ENVIRONNEMENTS DIFFÉRENTS
Slain 2 ne fait pas les choses à moitié. Le jeu vous propose de vous lancer dans trois quêtes interconnectées pour récupérer des reliques surpuissantes : L’Œil, Le Cœur et Le Poignard. Chaque quête est une excuse pour vous balancer dans des environnements toujours plus horribles, des forteresses battues par les tempêtes aux côtes spectrales, en passant par l’abîme lui-même.
C’est un peu comme une tournée de concerts : chaque salle a son ambiance, mais le but est le même : faire le show et survivre.

LA RECETTE DU CARNAGE : PIXELS + GOTHIQUE + MÉTAL + SANG
Les développeurs ont pris leur recette culte et y ont ajouté une cuillère de brutalité supplémentaire. Voici les ingrédients de ce cocktail explosif :
- Un combat féroce et réactif : D’après les premières images, la danse est simple : vous frappez, vous contre-attaquez, vous utilisez les pouvoirs de l’épée Bathoryn (qui, pour la petite histoire, a déjà découpé des monstres à travers l’univers, pas juste à la boulangerie du coin) et ses pouvoirs élémentaires. Le feu pour griller, la glace pour geler, la magie pour faire un peu de tout.
- La malédiction du Chevalier-Loup : On en a parlé, mais c’est si bon qu’il faut le répéter. Se transformer en loup-garou en plein combat, pour démembrer des ennemis avec la force de la bête, c’est un peu le « mode triche » du jeu. Sauf que c’est légal. Et badass.
- Un royaume en ruines : Les graphismes en pixel art sont toujours aussi sublimes, avec un niveau de détail qui fait honneur au genre. Des rues jonchées de cadavres de Wolftown aux catacombes maudites, chaque tableau est une œuvre d’art morbide, parfaitement accompagnée par une bande-son qui vous donnerait envie de pogoter avec un démon.

LA QUESTION QUI TUE
Au final, la question est de savoir si vous avez le courage de vous lever, de prendre les armes, et de faire face à des créatures issues de cauchemars, des sorciers abyssaux et des champions d’un autre monde. Ou bien, si l’obscurité va tout simplement vous avaler…
Quoi qu’il arrive, on s’amuse, on saigne, et on se relève. Rendez-vous en 2026 pour savoir si vous êtes à la hauteur !
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