
Amis gamers, préparez-vous à vivre une expérience… disons, « hors du commun ». Si vous pensiez avoir tout vu en matière de jeux vidéo, détrompez-vous ! Les illuminés de Leafy Games, un duo de développeurs américains visiblement atteints de folie douce, sont sur le point de déferler sur nos écrans avec WYRMHALL: Brush and Banter, un titre « cozy » qui risque fort de vous laisser… perplexe, mais dans le bon sens du terme, enfin, on l’espère. Oubliez les blockbusters hollywoodiens et les simulations ultra-réalistes, WYRMHALL: Brush and Banter est là pour vous prouver que le jeu vidéo peut aussi être absurde, décalé, et terriblement addictif. Préparez vos brosses virtuelles, car le nettoyage d’artefacts magiques n’a jamais été aussi… étrange.
Caractéristiques de WYRMHALL: Brush and Banter | Détails |
---|---|
Nom du jeu | WYRMHALL: Brush and Banter |
Développeurs & Éditeur | Leafy Games |
Tarif | 9,99 $ / 9,75 € / 8,50 £ |
Plateformes | PC (Steam) |




Un Gobelin, des Artefacts, et beaucoup de questions…
Imaginez un peu : vous incarnez un gobelin. Oui, un gobelin. Mais pas n’importe quel gobelin, un gobelin en quête de… stabilité professionnelle. Dans un élan de motivation soudain, notre ami verdâtre décide de répondre à une offre d’emploi des plus alléchantes (et probablement la seule qui n’exige pas de diplôme en « lancer de cailloux sur les passants »). L’annonce promettait un poste à temps partiel dans un kiosque de nettoyage. Intrigué, notre gobelin se présente et rencontre Bimbly, le manager du dit kiosque. Après une formation express sur le nettoyage d’artefacts magiques (avec une cloche de kiosque comme cobaye, rien que ça), Bimbly s’octroie des vacances bien méritées et vous laisse les clés du bouzin. Votre premier jour de travail officiel peut commencer, et croyez-nous, il va être… spécial.
Pendant sept jours, vous allez donc rencontrer une galerie de personnages hauts en couleur, écouter leurs histoires à dormir debout et, surtout, les aider à nettoyer leurs artefacts plus ou moins ragoûtants. Parmi vos clients, attendez-vous à croiser un fantôme fashion victime (oui, oui), un crâne maudit (qui a, paraît-il, une dent contre vous, même s’il n’a pas de dent, ni d’épaule, allez comprendre), et une collection d’objets enchantés plus étranges les uns que les autres. Le synopsis officiel nous promet « des dizaines d’artefacts à découvrir et de chumpos à rencontrer ». « Chumpos » ? On ne sait pas trop ce que c’est, mais on a peur de le découvrir.

Le Nettoyage d’Artefacts : Plus Complexe qu’il n’y Paraît dans WYRMHALL: Brush and Banter
Mais attention, WYRMHALL: Brush and Banter n’est pas qu’un simple jeu de nettoyage virtuel. Vos actions auront des conséquences, parfois désastreuses. Si vous bâclez le nettoyage du « Soul-Fire Lotus Charm » d’un puissant sorcier (oui, avec la petite marque déposée, s’il vous plaît), vous risquez de vous retrouver convoqué devant un tribunal de sorciers pour fraude. On nous promet « tellement de scénarios et d’éventualités ! ». On tremble d’impatience.

Wyrmhall : Un Aéroport Fantastique et Déjanté, Cadre de WYRMHALL: Brush and Banter
L’action de WYRMHALL: Brush and Banter se déroule à Wyrmhall, une sorte de « pocket-dimension » connectant des milliers de mondes différents grâce à des « Wyrmdoors » magiques. Imaginez un aéroport, mais en version fantasy, avec des créatures de tous horizons qui se croisent et des boutiques improbables. « On ne sait jamais qui va se pointer à votre kiosque ! » nous prévient le communiqué. Effectivement, avec un tel concept, on peut s’attendre à tout, et c’est probablement le but.



Un Jeu « Cozy », Vraiment ? Les Promesses de WYRMHALL: Brush and Banter
WYRMHALL: Brush and Banter se présente comme un jeu « cozy, fun and nuts ! ». Au programme :
- Des « dizaines d’artefacts » à découvrir et de « chumpos » à rencontrer. On insiste sur les « chumpos », on ne sait toujours pas ce que c’est, mais ça nous inquiète.
- La possibilité de « nettoyer parfaitement les artefacts… ou pas, et voir ce qui se passe ! ». Le chaos est donc une option viable, on apprécie.
- Différentes fins possibles selon votre talent de gobelin nettoyeur dans WYRMHALL: Brush and Banter. Serez-vous un « good gob » ou un « bad gob » ? La question existentielle de 2025.
- Une bande-son originale pour « vibrer » pendant le nettoyage dans WYRMHALL: Brush and Banter. On espère que ça vibrera dans le bon sens.
- La possibilité de jouer un gobelin et d’apprendre le « gob-speak », un dialecte « unique et complexe » dans WYRMHALL: Brush and Banter. On a hâte d’entendre ça.
- Une durée de vie d’environ 2 heures, « moins si vous êtes un mauvais gob » dans WYRMHALL: Brush and Banter. L’efficacité, c’est important, même chez les gobelins.
- Jouable uniquement à la souris. Les développeurs ont pensé aux joueurs minimalistes de WYRMHALL: Brush and Banter.
- De la « comédie et de l’humour ». C’est promis, juré, craché dans WYRMHALL: Brush and Banter.
- Le tout, « cozy, fun and nuts ! » dans WYRMHALL: Brush and Banter. On nous le répète, on commence à y croire (ou pas).

Un OVNI Vidéoludique à Découvrir Absolument, Nommé WYRMHALL: Brush and Banter ?
Leafy Games l’affirme : « Nous pensons que les joueurs qui aiment les jeux courts, mignons, comiques ou cozy trouveront probablement leur compte avec WYRMHALL: Brush and Banter. » En résumé, « une courte histoire, mais de haute qualité et une expérience unique et attachante !! ». Voilà, c’est dit. Reste à savoir si ce WYRMHALL: Brush and Banter est un véritable chef-d’œuvre de bizarrerie ou un simple pétard mouillé. Réponse le 7 mars 2025 sur Steam, au prix de 9,99 $ (soit environ 9,75 € ou 8,50 £, pour ceux qui aiment les conversions complexes).
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