Last Drop : Trip acide et drôle en Finlande, direction 1994 !

Amis gamers, préparez vos pixels et vos zygomatiques, car Lohkare Games Oy s’apprête à débouler dans nos vies numériques avec Last Drop, un titre qui promet de marquer les esprits, et peut-être même de provoquer quelques crises de rire nerveux. Oubliez les elfes et les dragons, ici, on parle de 1994, de la Finlande, et d’une bonne dose d’humour noir comme on l’aime.

Imaginez-vous : 1994. Le Walkman est roi, internet balbutie, et en Finlande, à Jyväskylä précisément, Lohkare Games Oy nous concocte une expérience vidéoludique qui sent bon le sapin, la vodka bon marché et les films d’action testostéronés des années 80-90. Bienvenue à Nykylä, ville fictive mais étrangement familière, où vous attend Seppo Sahtivaara, alias Zeze. Dès le réveil, vous voilà embarqué dans une aventure inspirée de faits réels, promettant un cocktail explosif d’action, d’open world et de situations pour le moins… délicates.

« Last Drop » : Plus qu’un jeu, une thérapie par le rire (et la baston)

Ce qui distingue « Last Drop » de la masse informe des jeux vidéo actuels ? Son audace, pardi ! Le titre assume pleinement son humour noir, son récit cru et sans concession, et ses personnages authentiques, directement inspirés de la culture finlandaise et des films d’action qui ont bercé notre jeunesse (ou celle de nos parents, pour les plus jeunes). Dans Nykylä, plus vraie que nature, « Last Drop » explore des thèmes universels comme l’amitié, la dépendance et la rédemption, le tout à travers le prisme de figures inoubliables telles que Rahikainen, Kuikka, et l’inévitable Seppo (Zeze). Soyons clairs, « Last Drop » ne fait pas dans la dentelle, car l’époque qu’il dépeint n’en faisait pas non plus.

Henri Koskinen, PDG et fondateur de Lohkare Games Oy, résume l’ambition du projet avec une simplicité désarmante : « Je voulais juste raconter une histoire, et le jeu vidéo est le médium parfait pour ça. Nous espérons que ce jeu rappellera les bonnes vieilles années 90 et que les gens apprécieront l’histoire de Seppo et de ses amis. » Et d’ajouter, avec un sourire en coin : « J’ai tellement entendu dire que ce jeu, c’est la Finlande incarnée ! » On imagine aisément le tableau…

Action, RPG et Vodka : Le menu copieux de « Last Drop »

Mais concrètement, qu’est-ce qui nous attend dans « Last Drop » ? Accrochez-vous, la liste est longue et prometteuse :

• Un open world bourré d’action avec des éléments RPG : Parce que se balader dans la Finlande des 90s, c’est bien, mais avec la possibilité de tabasser du méchant et de faire évoluer son personnage, c’est mieux.
• Un récit authentique inspiré de faits réels : Oui, oui, vous avez bien lu. Préparez-vous à plonger dans des situations vécues, revisitées avec l’humour particulier de Lohkare Games Oy.
• Un moteur Unreal Engine 5 pour des environnements réalistes et une immersion totale : Parce que la Finlande en 1994, ça mérite d’être beau, même si c’est un peu crasseux.
• Un doublage professionnel pour donner vie aux personnages : Pour entendre Seppo jurer en finnois avec une conviction authentique.
• « Survive and Thrive » : Faut bien se faire du fric pour survivre : Dans « Last Drop », il faudra bosser dur pour garder la tête hors de l’eau. Comme dans la vraie vie, mais en pixelisé.
• « Drive, Ride, and Collect » : Collectionnez les bolides et les bécanes : Parce que se déplacer en Lada dans la Finlande des 90s, c’est une expérience en soi. Mais avec style, c’est encore mieux.
• « Fight for Respect » : Battez-vous pour le respect (et pour le fun) : Prenez votre place dans la ville à coups de poing (virtuels, bien sûr). Le respect, ça se gagne, surtout à Nykylä.

Une armée d’internes pour un jeu qui a de la bouteille

Fait assez exceptionnel pour être souligné, « Last Drop » a bénéficié du travail acharné de plus de 90 stagiaires et participants à des projets de thèse issus d’institutions prestigieuses comme JAMK, Metropolia et l’Université des Sciences Appliquées de Kajaani. Au total, ce sont 40 000 heures de travail qui ont été investies dans le développement du jeu, dont 32 000 sous forme de stages non rémunérés, avec un financement modeste de 25 000 euros de la part du fonds Digidemo Avek en 2021. De quoi saluer l’engagement et la passion de toute l’équipe.

Alors, prêts à plonger dans la Finlande du dernier millénaire ? N’oubliez surtout pas d’ajouter Last Drop à votre liste de souhaits sur Steam. Parce que soyons honnêtes, un jeu qui promet de mélanger humour noir, action et culture finlandaise des 90s, ça ne court pas les rues.

Et rien que pour ça, « Last Drop » mérite toute notre attention. Et peut-être même un petit shot de vodka (avec modération, bien sûr).

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Domi

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