Accrochez-vous à vos sièges éjectables, gamers chevronnés, car en 2025, on ne rigole plus (ou peut-être que si, mais d’un rire nerveux et un peu dérangé) ! Good Shepherd Entertainment, les maîtres du jeu vidéo indépendant qui nous ont déjà offert des perles comme Dicefolk et Monster Train, remettent le couvert avec un titre qui s’annonce aussi original que perturbant : Moroi. Imaginez un cocktail explosif mélangeant le folklore roumain le plus sombre, l’énergie brute du heavy metal et l’univers surréaliste de David Lynch, le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour noir et de combats sanglants. Si vous avez le cœur bien accroché et l’esprit ouvert à toutes les bizarreries, Moroi est fait pour vous.
Bienvenue dans le Cosmic Engine, un labyrinthe organique où la logique a rendu l’âme.
Dans Moroi, vous incarnez un pauvre bougre frappé d’amnésie qui se réveille dans un lieu aussi fascinant que terrifiant : le « Cosmic Engine ». Imaginez un organisme vivant gigantesque, un dédale de chair et d’os où chaque couloir, chaque pièce, chaque recoin semble palpiter et respirer. Votre mission, si vous l’acceptez : retrouver vos souvenirs, reconstituer le puzzle de votre identité et, accessoirement, survivre aux hordes de créatures cauchemardesques qui rodent dans les entrailles de ce labyrinthe infernal.
Mais attention, le Cosmic Engine n’est pas un endroit où l’on se promène tranquillement en sifflotant. Ses habitants, aussi difformes que dérangés, vous accueilleront à coups de griffes, de dents et de blagues douteuses. Heureusement, vous ne serez pas complètement démuni face à cette horde de joyeux lurons. Moroi vous propose un arsenal d’armes aussi original que mortel : des canards infernaux aux dents acérées qui lacèrent la chair de vos ennemis, des cerveaux volants capables de projeter des salves de projectiles psychiques, des instruments de torture médiévaux revisités et augmentés pour infliger des souffrances inimaginables… Bref, de quoi transformer chaque combat dans Moroi en un véritable ballet macabre et hilarant.
Un jeu qui vous mettra à l’épreuve (et vous fera peut-être vomir un peu)
Ne vous attendez pas à ce que Moroi vous prenne par la main. Ici, pas de tutoriels interminables ni d’indications fléchées. Vous devrez vous débrouiller seul, explorer chaque recoin du labyrinthe, résoudre des énigmes tordues qui défient toute logique et affronter des boss redoutables aux patterns d’attaque imprévisibles. Et si vous pensiez pouvoir vous reposer sur vos réflexes de gamer chevronné, détrompez-vous ! Moroi vous demandera également de faire preuve de réflexion, d’observation et même d’un certain sens de l’humour (noir, très noir) pour progresser. Au programme : boire du sang pour ouvrir des portes, forcer des régurgitations pour découvrir des passages secrets, fouiller dans des entrailles pour trouver des clés… Miam !
Plus qu’un simple défouloir, une expérience qui vous marquera au fer rouge (et peut-être au cerveau)
Moroi n’est pas qu’un simple jeu de massacre où l’on se contente de démembrer des monstres à la chaîne. C’est une expérience immersive et perturbante qui explore les thèmes de la folie, de la culpabilité et de la rédemption. L’ambiance oppressante, les dialogues surréalistes, les rencontres avec des personnages plus dérangés les uns que les autres, tout contribue à créer un sentiment de malaise constant, une sensation de perte de repères qui vous hantera longtemps après avoir éteint votre ordinateur.
Un festin pour les amateurs d’humour noir, de gore et de jeux qui sortent des sentiers battus
Si vous aimez les jeux qui ne se prennent pas au sérieux, qui osent briser les codes et explorer les recoins les plus sombres de l’âme humaine, Moroi est fait pour vous. L’humour noir est omniprésent, distillé avec finesse et perversité dans les dialogues, les descriptions des objets et les situations les plus absurdes. Et si vous êtes amateur de gore, vous ne serez pas déçu : Moroi ne lésine pas sur les effets sanglants, les démembrements et les scènes macabres.
Moroi sortira sur PC début 2025. En attendant, vous pouvez suivre l’actualité du jeu sur Bluesky (@GoodShepherd.Games), préparer votre estomac et votre cerveau à affronter les horreurs du Cosmic Engine, et commencer à vous entraîner à rire nerveusement.
Alors, prêts à plonger dans le cauchemar roumain avec Moroi ?
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