Serrez les barreaux de votre lit et cachez les clés du placard à pharmacie, car Tripwire Presents, ces anges gardiens du jeu vidéo indépendant, s’apprêtent à vous faire plonger dans un cauchemar éveillé ! Le 28 janvier 2025, The Stone of Madness vous ouvrira les portes d’un asile psychiatrique espagnol du XVIIIe siècle, où la folie règne en maître et où l’humour noir est le seul remède à la terreur. Préparez-vous à une expérience immersive et déjantée, digne des plus grands tableaux de Goya !
Imaginez : vous vous réveillez dans une cellule froide et humide, la tête lourde et les idées confuses. Vous êtes prisonnier d’un ancien monastère jésuite reconverti en asile d’aliénés, un lieu sinistre où les cris des patients résonnent dans les couloirs et où l’odeur de moisi vous prend à la gorge. Bienvenue dans The Stone of Madness, une aventure qui mettra vos nerfs à rude épreuve !



Mais vous n’êtes pas seul dans cette galère. Cinq autres détenus, tous plus dérangés les uns que les autres, partagent votre sort. Il y a Amelia, la jeune voleuse au regard vif, aussi agile qu’un écureuil mais pétrifiée par l’obscurité. La pauvre est persuadée que des créatures hideuses se cachent dans chaque recoin sombre, prêtes à bondir sur elle à la moindre occasion. Eduardo, l’artisan baraqué aux poings d’acier, préfère lui aussi les endroits bien éclairés. Non pas qu’il ait peur du noir, mais disons qu’il a une fâcheuse tendance à transformer tout objet se trouvant sur son passage en projectile involontaire (et dans un asile du XVIIIe siècle, les objets fragiles ne manquent pas). N’oublions pas Silence, un ancien noble hanté par des visions macabres, qui erre dans les couloirs comme une âme en peine, et Isabela, une vieille religieuse persuadée d’être possédée par le diable, qui ponctue ses phrases de prières et d’incantations inquiétantes. Bref, une équipe de choc qui va devoir mettre ses névroses de côté pour orchestrer une évasion digne des plus grands films d’aventure… ou des plus grands nanars !

Mais attention, s’évader de The Stone of Madness ne sera pas une mince affaire
- L’Inquisition rode dans l’ombre : Imaginez des silhouettes menaçantes encapuchonnées dans de longues robes noires, des yeux perçants qui scrutent le moindre de vos mouvements, des torches qui projettent des ombres inquiétantes sur les murs… L’Inquisition n’est pas connue pour sa clémence, et la moindre erreur pourrait vous envoyer tout droit au bûcher (ou pire, à la salle de torture). Dans The Stone of Madness, la discrétion est de mise. Faufilez-vous dans les ombres, utilisez l’environnement à votre avantage et priez pour que personne ne remarque votre absence.
- La folie est contagieuse : Chaque personnage de The Stone of Madness traîne son lot de traumatismes et de phobies. Si vous ne les gérez pas correctement (une berceuse pour Amelia, une lampe torche pour Eduardo, un exorciste pour Isabela…), leur santé mentale risque de partir en vrille. Paranoïa, démence, hallucinations, crises de violence… Autant de symptômes qui pimenteront votre aventure et rendront votre tâche encore plus délicate.
- Deux plans d’évasion, deux fois plus de suspens : Dans The Stone of Madness, vous aurez le choix entre deux stratégies d’évasion, chacune avec ses propres objectifs, ses surprises et ses rebondissements. Le cycle jour/nuit rythme vos actions : le jour, vous explorez les lieux et collectez des informations, tandis que la nuit, vous vous reposez (enfin, vous essayez) et préparez votre évasion. Mais attention, la nuit, l’asile prend une toute autre dimension… Les ombres s’allongent, les cris se font plus forts, et les créatures de l’imagination semblent prendre vie.
- Un chef-d’œuvre visuel : Préparez-vous à être ébloui par les graphismes peints à la main de The Stone of Madness, inspirés par les œuvres du célèbre peintre espagnol Francisco de Goya. L’ambiance sombre et inquiétante du jeu vous plongera au cœur d’un véritable cauchemar éveillé, où la réalité et la folie se confondent.



Alors, prêt à affronter vos démons (et ceux de vos compagnons) dans The Stone of Madness ? Rendez-vous le 28 janvier sur PC, PlayStation 5, Xbox Series X|S et Nintendo Switch. Et n’oubliez pas : dans cet asile, la seule chose plus dangereuse que la folie, c’est l’ennui !
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